DEVOIR DE MEMOIRE

Un réserviste peut-être issu de la société civile et n’avoir aucune expérience militaire. Affecté au sein des forces ou en état-major, il participe pleinement aux missions qui peuvent être confiées aux armées, aux directions ou aux services. Son activité est rémunérée, non imposable et peut constituer un véritable emploi à temps partiel.

L’AOR-NC, UN GARDIEN DES VALEURS

Afin de rendre hommage à l’ensemble des réservistes et aux événements en lien avec l’esprit de défense, l’AOR-NC intègre un réseau d’acteurs pour la représentation et la promotion des réserves. Ainsi, différentes cérémonies militaires et civiles sont couvertes annuellement à la fois en Nouvelle-Calédonie mais également en Australie par la biais d’un partenariat avec la National Reserve Day Association of Queensland.

Plus d’informations sur demande à [email protected]

LA NOUVELLE-CALEDONIE, UNE HISTOIRE DE VOLONTAIRES 

La Nouvelle-Calédonie est marquée par une histoire militaire très riche :

  • l’engagement du Bataillon mixte du Pacifique en France (1916-1919),
  • le ralliement de la Nouvelle-Calédonie à la France Libre (1940),
  • l’épopée des volontaires du Bataillon du Pacifique (Bir-Hakeim, Monte-Cassino, débarquement de Provence…)

Ainsi, la Nouvelle-Calédonie reçoit la croix de la Résistance et l’étendard du RIMAP-NC, héritier du Bataillon d’Infanterie de Marine et du Pacifique (BIMP), arbore la croix de Compagnon de la libération en plus de la croix de guerre 39-45 avec 5 palmes.

Cet héritage unique participe à notre conscience citoyenne et bâtit le sens de nos responsabilités communes. Au-delà de l’appartenance à l’institution militaire, être réserviste permet donc de se situer dans la lignée historique de nos anciens. Certains sites retracent cette histoire (https://www.bmp-1916.com/ et https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/un-insigne-de-volontaire-du-bataillon-du-pacifique).

L’association a également été portée par des hommes qui se sont portées volontaires pour promouvoir les réserves en Nouvelle-Calédonie. Ils y ont notamment consacré du temps en sus de leur vie professionnelle, de leur vie miliaire et, surtout, de leur vie familiale